L’Histoire extraordinaire de la Famille Hope Souris

In Humeurs
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 Un conte pour mes enfants et, peut être,  pour les vôtres aussi.

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La famille Hope Souris

C’était une famille bruyante et gaie, une famille heureuse souvent, aussi gourmande que maladroite.

Il y avait Papa Léon, Maman Simone, il y avait Tom, Léa, bébé Sonia et puis l’oncle Néo.

Et si dehors l’humeur était moins heureuse, au coeur de leur petite ville, à la maison il restait ce bonheur de se retrouver et de partager, tous ensemble, un bon repas.

Cela commençait souvent par papa Léon qui renversait son verre, puis maman qui ,en cherchant à le nettoyer, faisait tomber le pain et s’ensuivait une série de catastrophes relayée par tous les membres de la famille, qui finissait en un fou rire général…

Pourtant si le bonheur était bien présent, parfois on voyait passer dans les yeux de maman, un fond d’océan et un brin d’inquiétude.

Depuis quelques temps: plus rien n’allait au coeur de la ville aux mille souris.

Un soir Tom et Léa, furent réveillés par une discussion animée de leurs parents, qui ne pensaient pas pouvoir être entendus.

« Qu’allons nous devenir Léon, lorsque toute trace d’espoir aura disparu du coeur des autres souris? » « Cela n’arrivera pas Simone, il y aura toujours des souris comme nous, il y aura toujours des rires d’enfant et des moments heureux, même fugaces »

« Souviens toi de nos voisins les Stone Souris, ils étaient nos meilleurs amis, aujourd’hui ils ne sont plus que l’ombre d’eux même, le jour où ils ont perdu leur innocence, toute forme de vie semble les avoir quitté: depuis ils ne sourient plus, ne parlent plus, ils m’effraient! »  » C’est vrai Simone, mais nous saurons être plus forts…pour nos enfants »

« Léon, par pitié, il est temps de partir… »

A ces mots, Tom avait saisi la main de Léa: partir de la ville aux mille souris? Mais où iraient ils?

Depuis l’autre nuit, Tom et Léa n’arrivaient plus à dormir paisiblement… Ils sentaient bien que leurs parents s’inquiétaient vraiment. C’est vrai que ces derniers mois, nombre de choses avaient changé dans la ville aux mille souris…

Beaucoup de souris étaient devenues comme lobotomisées, sans vie, sans âme… Cela avait commencé le jour où l’air était devenu épais, si épais que l’on n’apercevait plus le soleil. Peu à peu les souris n’avaient plus senti sa chaleur et leur humeur s’en était trouvée changée… Les fleurs avaient perdu leur couleur, les aliments n’avaient plus eu de goût…Peu à peu une maladie inconnue que l’on avait appelé « la lente mélancolie » s’était emparée des souris. Celles qui en souffraient avaient perdu toute joie de vivre; et peu à peu la ville s’était transformée en une cité morne et grise.

C’est à ce moment que papa Léon et maman Simone avaient commencé à rêver de ce départ: Partir pour ne pas perdre espoir

Toute la famille avait un attachement particulier pour la ville aux mille souris. Jadis, c’était un havre de paix, construite après La Grande Paix, elle était le témoignage d’une qualité de vie qui s’était considérablement améliorée pour les souris. Longtemps chassées, ces dernières avaient vécu pendant des siècles terrées dans des trous, contraintes au vol et surtout inquiètes à chaque instant, de se voir pourchassées par les chats ou pire par les humains.

Désormais, toutes les souris vivaient à l’air libre, certes à l’écart des autres espèces, mais à la lumière du jour.

Les enfants n’avaient jamais connu cette crainte d’être pourchassés, les familles avaient pu, enfin, construire de vraies maisons.

Et puis le nuage noir était arrivé, elles l’avaient d’abord vu, au loin, surplomber la grande ville des humains et il s’était étendu…

Un jour, les souris n’avaient plus pu apercevoir un coin de ciel bleu et c’est là que la perte de l’espoir avait commencé à se faire sentir.

Peu à peu, la majorité des souris avaient perdu toute forme de vie, rendant le quotidien aussi insoutenable qu’inquiétant

Depuis quelques jours, maman Simone cuisinait un peu plus à chaque repas, elle le faisait discrètement afin que leur vie paraisse inchangée. Les restes allaient dans des boîtes qui, peu à peu, s’empilaient. Papa Léon, lui, fabriquait des baluchons…Tom et Léa faisaient ceux qui ne s’apercevaient de rien mais ils savaient: le départ approchait!

Ils s’étaient résignés à ce départ, d’autant que la vie continuait de se dégrader, à l’extérieur de la maison.

Dans la cour de leur école, il n’y avait plus un rire; les jeux avaient cessés le jour où la lumière avait complètement disparu. Leurs amis les inquiétaient, ils ne parlaient presque plus.

Alors le frère et la soeur restaient côte à côte, se tenant la main, tentant de s’apporter un peu de réconfort….

La seule chose qui les inquiétait, vraiment, avec ce départ était : partir mais pour aller où?!

La réponse ne tarda pas à arriver, puisque le soir même, après dîner. Papa Léon prit son air solennel avant d’énoncer « il est temps que nous parlions »… Il expliqua à toute la famille, que l’heure du départ avait sonné pour leur survie à tous…Qu’ils resteraient toujours tous ensemble mais que si ils continuaient à vivre ici, la mélancolie ne tarderait pas à les rattraper. La seule chose qui les avait sauvé jusqu’à présent, c’était la joie de leur famille mais bientôt cela ne serait plus suffisant car le nuage devenait de plus en plus épais.

Ce que les enfants ignoraient, c’est que quelques souris avaient déjà tenté de partir mais que la police des Rats les avait rattrapé, en effet depuis La Grande Paix, il était établi que les souris ne devaient jamais (jamais jamais jamais) quitter la zone libre que les félins leur avaient octroyé.

Mais où irons nous demanda Léa? A cet instant, l’oncle Néo, celui qui ne parlait jamais se leva. Néo était un scientifique extrêmement timide, que les enfants adoraient mais qui ne s’exprimait jamais.  » Nous traverserons le nuage noir, pour aller au delà jusqu’aux étoiles, nous décrocherons l’étoile de l’Amour, de l’Espoir et de la Joie et nous les ramèneront dans la ville aux mille souris »

Il sortit alors une carte de sa poche, une carte qu’il avait mis des années à dessiner…

En effet Néo préparait ce voyage depuis longtemps, depuis qu’il avait pu observer dans son télescope l’arrivée du nuage noir, au loin, au dessus de la ville des humains.

« Les enfants réveillez vous! c’est le moment! » Tom et Léa s’extirpèrent de leur sommeil… Devant eux Maman Simone tenait bébé Sonia endormie, alors que papa Léon et tonton Néo portaient de gros sacs à dos.

« Ne faites pas de bruit surtout, personne ne doit remarquer notre départ »

Tom et Léa s’habillèrent en urgence, mirent leurs meilleures chaussures et suivirent leurs parents jusqu’au grenier….

« Comment allons nous traverser le nuage?!! Avec un avion? une montgolfière? Un cerf volant? Ou sur le dos d’un oiseau? »

 » Non » répondit tonton Néo qui décidément parlait plus, depuis quelques jours, qu’il ne l’avait fait ces dix dernières années ; « j’ai construit quelque chose… »

Papa poussa la trape du toit, dirigea sa torche vers le ciel et là les enfants virent se détacher, dans la noirceur de la nuit, un long chemin blanc qui menait vers le haut…

C’était à cela que Néo avait passé toutes ces dix dernières années!!!

Celui qui ne parlait pas, que l’on n’entendait jamais, ne se contentait donc pas de lire caché dans le grenier! Il avait construit, pierre après pierre, leur chemin vers les étoiles!

On y va? Et les souris un peu tremblantes firent le premier pas vers cette folle aventure en direction des étoiles….

Un pas après l’autre, tremblantes mais aussi poussées par cette force qui les dirigeait vers la lumière des étoiles, les souris se lancèrent dans le noir vers ce qui était devenu leur destin.

Tom et Léa se tenaient par la main, comprenant soudain que leur vie avait vie un tournant décisif et que plus rien ne serait comme avant.

Tonton Néo, qui décidément était bien cachotier, avait prévu des lampes frontales qu’il donna à chaque membre de la famille.

Léa se tourna pour regarder ses parents qui ne disaient mot et remarqua que maman Simone marchait avec difficulté en tenant bébé Sonia. Elle fut rassurée de voir que papa ne quittait pas ses côtés.

Bientôt la nuit noire les enveloppa, rendant invisible le toit de la maison, qu’ils avaient laissé derrière eux. Il n’y avait donc plus de retour possible.

Les petites souris marchèrent longtemps dans le noir, n’ayant plus la force de réfléchir elles se contentaient de regarder leurs pieds: « un pas devant l’autre et on recommence ». La nuit était longue et le chemin paraissait interminable.

C’est finalement papa Léon qui rompit le silence en annonçant: il est temps de dormir!.

Néo eut un sourire. C’était incroyable, ce simple mouvement illumina le visage de cette souris si timide. « Attendez encore quelques minutes s’il vous plaît, nous avons tellement marché que nous allons bientôt dépasser le nuage noir, donnons nous encore cette peine »

Les souris titubaient presque, on voyait maman Simone tenir bébé Sonia très fort, son visage tiré par la fatigue.

Tom se rapprocha un peu plus de Léa et lui murmura « courage petite soeur », « Tom tu ne remarques pas que maman ne va pas bien? » « je sais Léa, je sais bien » « elle ne parle presque plus jamais depuis bébé Sonia, parfois quand elle croit que je ne la regarde pas, je vois des larmes couler le long de ses joues, elle les sèche bien vite! mais certaines restent coincées dans ses moustaches » « tu sais Léa, Sonia est née toute petite, bien plus petite que la majorité des souris, c’est pour cela qu’on ne l’entend jamais pleurer, maman doit toujours la serrer fort dans ses bras et cela l’inquiète et la fatigue à la fois » . 

Léa poussa un gros soupir, tout cela faisait beaucoup d’émotions pour son petit coeur de souris haute comme trois noisettes, tout ce qu’elle voulait, elle, c’est que tout redevienne comme avant! Elle voulait son frère près d’elle, elle voulait sa maman qui chante et sa famille heureuse… Elle voulait une vie toute simple, entourée des siens.

Et alors qu’elle réfléchissait à tout cela, elle sentit soudain ses poumons s’ouvrir, s’ouvrir encore et encore.

Sa tête se mis à tourner, elle dut s’asseoir. Autour d’elle tous les membres de sa famille semblaient pris dans un tourbillon.

Elle ferma les yeux.

Au moment où elle put les réouvrir enfin, elle vit que la nuit s’était levée. Néo était debout au loin, l’air radieux.

Les courageuses petites souris avaient tant et si bien marché pendant la nuit qu’elles avaient réussi à dépasser le nuage noir, le ciel autour d’elles était à nouveau bleu et l’air avait un goût délicieux qu’elles avaient oublié jusque là.

Les souris assises, pleuraient de joie et de soulagement mêlés. Léa et Simon regardèrent Néo essuyer ses lunettes, c’était lui leur héros! Ce grand timide, un peu bourru, celui que l’on oubliait toujours dans son coin, les avait menés jusqu’à la lumière.

Papa que l’on n’entendait presque pas, depuis le début de l’aventure, les réunit pour discuter de la suite des évènements.

Maman,  semblait dormir, un peu plus loin, le bébé serré contre elle…

« Les enfants, il nous reste environ une journée de marche jusqu’aux étoiles, il nous faut impérativement pouvoir les rapporter pour sauver la ville aux mille souris. Seules elles, pourront ramener la lumière au monde des souris et faire disparaître la mélancolie de leurs coeurs… »

« Mais papa, le chemin était si long et si fatiguant, pourquoi ne resterions nous pas ici? L’air est si pur, Néo pourrait trouver le moyen d’envoyer un message aux autres souris »

« Mon chéri, les petites souris ne sont pas faites pour vivre dans les nuages et jamais jamais nous ne devons abandonner d’autres souris en difficulté »

Simon poussa un soupir, il savait que papa avait raison…mais parfois cela paraissait tellement plus simple de ne penser qu’à soi!

Alors ils marchèrent encore et encore, et si le chemin paraissait bien long il était, désormais, bien plus gai qu’au démarrage de l’aventure!

Les nuages leur chatouillaient les pieds, l’air semblait les envelopper de son bleu réconfortant. Néo ne cessait de parler, Tom et Léa marchaient main dans la main. Papa restait aux côtés de maman et de bébé Sonia.

Bientôt la lune apparut . Les souris impressionnées découvrirent, émerveillées, un milliard d’étoiles qui les entouraient dans le nuit noire…

C’était un spectacle magnifique, unique mais surtout extrêmement réconfortant.

En effet, ce que les souris ignoraient c’est que chaque étoile chante doucement dans le ciel, une mélodie extrêmement douce et que toutes réunies, elles composent un air unique, message de paix, d’amour et de réconfort.

Mais comment allaient elles savoir, quelles étoiles ramener?

A ce moment là, maman, que l’on n’entendait plus depuis si longtemps, s’avança avec bébé Sonia dans les bras.

Le visage illuminé par la lumière du ciel, elle pleurait doucement.

Léa, consciente que c’était un moment grave, prit la main de son frère.

« Simone… » murmura papa… « c’est l’heure » répondit maman simplement.

Sans savoir pourquoi, Tom et Léa se regardèrent, une boule d’émotions nichée au creux de leurs gorges.

Face aux étoiles, maman ouvrit les bras en pleurant doucement. C’est à ce moment là qu’une lumière très forte aveugla les enfants, ils perdirent la notion du temps.

Lorsqu’ils purent réouvrir les yeux, papa Léon était aux côtés de maman, ses larmes étaient séchées, dans ses bras elle tenait une étoile à la lumière si douce qu’elle les fit pleurer malgré eux.

« maman où est Sonia? » « Sonia avait le coeur trop fragile d’avoir respiré si petite, l’air créé par le nuage noir mes amours, et comme tous les bébés trop petits et trop fragiles pour vivre, elle s’est transformée en étoile. Désormais, elle aussi chantera une mélodie douce dans la nuit. Parfois nous n’aurons même plus l’impression de l’entendre, mais elle continuera d’apaiser notre sommeil, elle restera toujours avec nous. »

Les deux enfants poussèrent un gros soupir, évidemment attristés par la nouvelle, mais lorsqu’ils s’approchèrent de l’étoile, ils sentirent sa chaleur douce et réconfortante…maman avait raison!

Néo se gratta un peu la gorge, lui aussi visiblement très ému et annonça… « Nous avons trouvé la plus importante des étoiles, il est désormais temps de rentrer. Elle saura apporter la lumière et dissiper le nuage noir »

Le chemin du retour leur sembla tellement plus court. A chaque marche, les souris se sentaient plus légères, désormais elles entendaient la musique raisonner dans leurs oreilles. Même maman semblait aller mieux, en effet, cela faisait si longtemps qu’ils ne l’avaient plus vu sourire vraiment.

Bientôt ils réussirent à rejoindre le toit de leurs maison, les petites souris si courageuses et si fatiguées d’avoir tant marché, se serrèrent bien fort, puis se tournèrent une dernière fois vers les marches, construites par oncle Néo.

Le soleil commençait à se lever… derrière elles et leur étoile elles s’aperçurent que suivaient d’autres étoiles venues les accompagner. Le ciel était dégagé, redevenu bleu, au loin, on entendait la ville aux mille souris reprendre vie…la mélancolie disparaissait donc enfin!

Maman ouvrit les bras une dernière fois, et si elle pleurait, ses larmes ne semblaient plus si douloureuses.

« Il est temps pour nous de retourner vivre notre existence pleine de rires et de joie sur notre Terre les enfants et il est temps pour notre étoile de continuer à briller dans la nuit, juste au dessus de nous. Si un soir vous avez du chagrin, tendez l’oreille, vous entendrez son chant réconfortant »

Papa Léon s’approcha « tu sais mon amour que lorsqu’une étoile s’envole, elle change de nom, elle prend celui qui sera inscrit à jamais dans le ciel! »

« je sais mon chéri, on l’appellera Charlie »

« Charlie c’est tellement joli »

Et heureuse et confiante, la famille Hope Souris tourna le dos à la nuit pour retrouver sa vie sur Terre dans un ciel désormais bleu.

Fin.

N’oubliez jamais les enfants que les histoires les plus belles sont celles qui font parfois pleurer un peu, mais où l’on retrouve toujours le sourire à la fin.

 

39 Comments

  1. Beaucoup d’émotions en lisant cette belle histoire. Tes enfants ont de la chance !
    Une pensée à toutes nos étoiles

  2. Puisse rester en chacun de nous un peu de la famille Hope, que ce soit dans les moments heureux ou moins faciles! Gardons toujours les couleurs du bonheur ! Mille bisous Elisa et merci

  3. Beaucoup d’émotions à la lecture de ce joli compte.
    Tu as une très belle plume.
    Je t’embrasse
    Sonia ✨

  4. Bon, j’ai pleuré de bon matin, mais quelle jolie histoire Elisa…

    Quoi de plus joli pour rendre hommage à votre Charlie.
    Je vous envoie mes plus tendres pensées et espère que la famille hope souris existera un jour sous la forme d’un livre pour la partager avec nos enfants ❤️

  5. Un très joli conte, simple et doux comme un câlin… qui fait pleurer un peu, oui, mais qu’on est si heureux d’avoir lu et partagé ! Merci Elisa.

  6. Elisa, merci pour ce conte, absolument poétique et émouvant,
    En ayant suivi votre histoire sur les réseaux, mes larmes coulent chaudement sur mes joues ce matin,
    j’avais déjà une profonde admiration pour toi, je sais encore plus que tu es une Femme aux mille ressources et surtout aux mille talents.
    J’espère très sincèrement que ce conte sera un jour entre les mains de mon petit Simon, je prendrais grand plaisir à le lui lire ❤️

  7. Merci Elisa.. quel joli compte qui résonne en beaucoup d’entre nous, je suis impressionnée par votre générosité même dans les moments les plus douloureux pour vous. Cette force de vivre, de partager, d’aimer.. vous êtes une très belle personne. Je vous souhaite beaucoup beaucoup d’amour

  8. Quelle magnifique histoire, pleine d émotion, de douceur.
    Il me tarde de la lire à ma fille Ana qui adore regarder les étoiles et penser à tous ceux que l on aime la haut.
    Merci Elisa pour ce beau texte et ce dessin magnifique

  9. Bonjour Elisa et un énorme merci pour ce joli conte !
    Voilà une belle histoire à raconter à ma fille aînée.
    On manque tellement de chansons ou d’histoires qui parlent de nos étoiles ✨
    Merci encore de publier l’histoire de la famille Hope Souris et ainsi d’aider d’autres familles à surmonter cette épreuve
    Marion

  10. C’est un très beau conte, dont j’attendais la suite, l’ayant suivi avant Noël.
    C’est doux et tendre, c’est très émouvant.
    Merci de l’avoir partager avec nous ♥

  11. J’ai pleuré comme un enfant… ❤️ Merci, Elisa, de donner de la force aux gens qui ont, eux aussi, perdu une étoile.

  12. Quelle histoire magnifique… bravo pour ce récit bourré à craquer d’émotions, merci pour ton courageux partage, et je ne peux qu’encourager ce beau projet de faire éditer l’histoire de la famille Hope Souris ♡♡♡

  13. Chère Elisa,
    Je pleure encore à cette lecture, mais c’est le coeur plein de lumière que j’écris ces mots. Ton conte est à l’image de nos vies, douces-amères mais comme tu le dis, ce qui compte c’est de retrouver le sourire à la fin. Publie le, c’est magnifique! <3

  14. Quel conte poétique pour petits et grands, tu es vraiment très douée ! Mille pensées pour Charlie ✨

  15. C’est une histoire tellement émouvante Elisa! Elle est magnifique. Je te souhaite le meilleur. Je vous embrasse fort toi, ta famille, ton étoile ❤.

  16. C’est superbe Elisa, c’est doux, émouvant, poétique. Tout les messages que tu délivres avec tant de délicatesse et de sensibilité me vont droit au cœur. Je serais heureuse de lire cette histoire à mes deux filles, j’espère que ton texte, illustré si merveilleusement par Florence, sera vite imprimé pour pouvoir me le procurer!! Mille bisous talentueuse Elisa

  17. Quel talent, ton histoire est magnifisue, touchante, poétique… je suis sans mots. À quand le livre? Merci. Merci. Merci.

  18. Très touchée par la famille Hope Souris… Merci jolie Elisa de nous partager son histoire. Je vous embrasse

  19. Je viens de finir de lire cette belle histoire à mes filles, les yeux pleins de larmes et le sourire au cœur, merci de partager cette histoire si intime, je suis impressionnée par votre force… vive l’amour !

  20. Chère Elisa,
    Cette histoire est tellement pure et belle,
    Elle a été écrite avec la voix du coeur ça se sent. Chaque mot est juste, doux et merveilleusement bien écrit.
    C’est un hommage extrêmement poétique et une magnifique histoire qui mériterait d’être publiée.
    Bravo pour ce talent, pour votre générosité et votre authenticité.
    Grâce à vous je m’endors ce soir avec la conviction que les plus belles choses peuvent émerger de nos larmes. Et que de belles personnes sont là pour les exprimer et les répandre.
    Chère Elisa, merci d’être vous et pour cette belle leçon de vie

  21. Merci beaucoup Elisa pour votre générosité et votre authenticité ! Quel courage ! Quel talent ! Je suis tellement touchée….
    Et tellement reconnaissante car tout ce que vous partagez chaque jour m’aide beaucoup sans que vous le sachiez. Vous me redonnez un peu chaque jour foi en la nature humaine ❤

  22. Merci Chère Elisa pour cette histoire si jolie, douce, calme et radieuse. Elle est comme la vie, avec des moments plus sombres que d’autres…
    Mais j’ai appris aussi, trop jeune évidemment, que le soleil réapparaît toujours dans nos vies.

    J’ai une étoile ,là-haut, qui me regarde, m’encourage m’aide à grandir… Toutes ces choses qu’elle n’a pas pu faire depuis mes 11 ans. Mais je sais qu’elle est là, alors qu’une petite goutte d’eau vient d’atterrir sur mon clavier…
    Merci ♥

  23. Votre conte est magnifique…. Un joli conte qui je l’espère sera illustré un jour .. vos mots sont tellement touchants merci de les partager avec nous.. je vous souhaite de plus en plus d’éclaircies à vous et votre famille ✨

  24. Que d émotions en lisant ce conte, les larmes qui coulent et la voix qui se brise en le lisant à haute voix à mes loulous…
    Je vous souhaite que cette étoile veille sur vous 5.
    Je t embrasse bien fort.

  25. Quelle merveilleuse histoire, tes mots sont chauds, réconfortants, remplis d’espoir et d’une force incroyable. Bravo Élisa, et merci de l’avoir partagée avec nous.

  26. Mais quel texte merveilleux ! Merci de l’avoir partagé avec nous ❤

  27. De Chiara, 9 ans : Merci pour cette belle histoire. Je l’ai trouvée passionnante. Mes personnages préférés sont Neo et Lea.

  28. Bonsoir,
    (….) que dire devant cette histoire remplie de si beaux mots d’espoir… que la Vie se doit d’exister et que de là-haut veillent les belles étoiles pleines de plénitude… que le sourire d’exister doit faire face à l’adversité, que la tristesse peut avoir sa place mais qu’il faut trouver sa propre ressource… c’est un très bon conte… de la bonté et de l’émerveillement… MERCI. Belle soirée et bon courage.

  29. ouhaou, depuis le temps que je voulais lire cette merveilleuse histoire…
    Les yeux sont embués, merci, c’est magnifique <3

  30. Quel talent Elisa !!!
    Quelle émotion j’ai ressentie en te lisant !
    Une merveille ❤️

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