Humeurs
22 juin 2015

Il fera beau en juillet

Bientôt la fin de l’année…

Depuis que j’ai des enfants, en âge d’être scolarisés, mon rythme s’établit de septembre à juillet.

Alors à quelques jours des vacances scolaires, j’ai fait un rapide bilan.


IMG_7602.JPG_effected IMG_7605.JPG_effected IMG_7610.JPG_effected IMG_7615.JPG_effected IMG_7623.JPG_effected IMG_7630.JPG_effected IMG_7632.JPG_effected IMG_7638.JPG_effectedDepuis mon retour au travail à la rentrée dernière, j’ai accumulé un rythme intenable.

En septembre, je quitte un travail ou j’ai subi un harcèlement moral inacceptable pendant ma grossesse, 

je retrouve rapidement un job aux horaires quasi incompatibles avec une vie de famille.

Je tiens bon, je dors trois heures par nuit, j’allaite Mia, je continue à chercher un meilleur job.

Parfois je pleure de fatigue, mes collègues ont dix ans de moins que moi, mais tout le monde est gentil.

Deux mois plus tard, je trouve: nouvelle équipe, nouveaux challenges, je dois à nouveau m’adapter.

Je tiens bon, je multiplie les missions en à côté. Je dors désormais 5 heures par nuit.

Janvier, j’accepte un gros boulot en web rédactionnel, deux mois intensifs.

Nous partirons en vacances cet été, ce credo m’aide à tenir.

Février, je dors six heures par nuit, je revis.

Mars, je perds une mission, on a peur de me confier des responsabilités: « vous comprenez avec trois enfants ».

Avril, j’en ai gagné quatre autres et je m’autorise un mail à ceux qui ne m’ont pas fait confiance.

Mai, mon ancien responsable, qui m’avait infligé un enfer